L’affaire des masques aura marqué ces mois de confinement, déclinant en épisodes tragico-comiques les cent nuances de nos errements publics. Passons sur les palinodies embarrassées de représentants de l’exécutif décrivant d’abord le masque comme inutile avant de le rendre obligatoire.

Il est prématuré de prétendre « tirer les leçons » de la crise sanitaire que traverse notre société.  On peut toutefois s’autoriser à analyser de manière aussi distanciée et objective que possible, la façon dont la société française a réagi en choisissant

Si l’heure n’était pas grave, on pourrait croire à une pièce de boulevard, mais la situation extrêmement difficile des hôpitaux ne fait rire personne. En quelques jours l’accumulation de bévues choquantes de la part de certains responsables publics, hauts fonctionnaires

24 000 d’euros pour le Solvadis (médicament curatif de l’hépatite C), 320 000 d’euros pour le Kymriah de Novartis, ou encore 1,9 millions d’euros du Zolgensma(thérapie génique du même Novartis pour traiter l’amyotrophie spinale) : l’escalade vertigineuse du prix des nouveaux médicaments et

Nombreux en rêvaient. « MyHeritage », « 23andMe », et tant d’autres, l’ont fait. Pour seulement une centaine d’euros, chacun peut aujourd’hui obtenir une grande multitude d’informations le concernant, rien qu’à partir de son ADN. Il suffit simplement d’envoyer un peu de salive, de